Bruxelles plus durable
« Le grand enjeu du redéploiement touristique, c’est la sortie de la crise, avec un nouveau paradigme qui va se créer. Les grandes tendances s’affichent aussi dans un tourisme durable. On sait qu’on ne retrouvera pas les destinations lointaines avant 2024-2025. Donc, on va devoir travailler sur les pays limitrophes. Et là, Bruxelles a une carte à jouer, parce qu’elle est très centrale, facilement accessible en train », souligne Patrick Bontinck.
D’autant plus que l’offre de trains de nuit se développe. C’est le grand retour des trains de nuit, avec déjà Vienne, bientôt Prague et Malmö ! Cela va aussi changer la donne dans le type de tourisme que Bruxelles va pouvoir accueillir.
On sait que le consommateur veut une offre plus durable. Il veut un tourisme plus lent, avec plus de rencontres et des séjours plus longs. C’est une opportunité unique pour le tourisme de redéployer ce qu’il était à la base : la rencontre des gens et des cultures, pour vivre un moment différent.
Bruxelles plus durable, c’est : des lieux qui impactent de moins en moins l’environnement (hôtels durables, neutres en émissions carbone), consommer local, favoriser le circuit court, les produits respectueux de l’environnement, promouvoir nos spécificités auprès des étrangers.
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